top of page

Au niveau du SDAU, il faudra établir une structure écologique, intégrant et reliant différents espaces de relief de la conurbation de nature écologique. Cette structure doit également être entendue comme un réseau qui établit la relation entre les zones urbaines et rurales de la conurbation.

 

Les éléments de la structure écologique doivent être valorisés, dans une logique simultanée de préservation d’un manque de ressources et de valorisation sociale, en tant qu’espaces de loisirs et détente et de valorisation économique, devenant une ressource, source de création de valeurs.

Structure environnementale

Aire d'intervention

A télécharger
EN SAVOIR +
STRUCTURE ENVIRONNEMENTALE

Au niveau du SDAU, il faudra établir une structure écologique, intégrant et reliant différents espaces de relief de la conurbation de nature écologique. Cette structure doit également être entendue comme un réseau qui établit la relation entre les zones urbaines et rurales de la conurbation.

 

Les éléments de la structure écologique doivent être valorisés, dans une logique simultanée de préservation d’un manque de ressources et de valorisation sociale, en tant qu’espaces de loisirs et détente, et de valorisation économique, devenant une ressource, source de création de valeur.

 

À ce niveau, il faut souligner l’importance de la forêt de la Maâmora qui appelle à des mesures d’urgence, comme le préconise le SNAT.

 

Les zones agricoles, qui doivent tout autant figurer dans ce plan d’action, devront également fonctionner comme ressource économique, paysagère et environnementale. L’agriculture ne devra pas être à peine vue comme une activité dominante des zones rurales, mais comme capable de remplir un rôle important, également dans l’espace urbain, que ce soit comme activité complémentaire au revenu des ménages, ou comme activité ludique, ou encore à travers la création d’une interface fluide entre les aires urbaines ou urbanisables et les non urbanisées, contribuant à l’aménagement et au contrôle de l’expansion urbaine.

 

Dans le cadre de ce plan d’action, il est prévu de créer une ceinture verte garantissant un bon ratio de m2/habitant, sachant que l’OMS recommande 10 m2/habitant.

 

Au-delà de la simple défense du patrimoine écologique, le SDAU, dans une perspective de développement durable, doit fixer les grands axes de développement de la structure écologique et des espaces qu’elle doit reconquérir, transformer ou régénérer, à travers une stratégie de développement et de régénération écologique. D’après la même philosophie, cette stratégie établira les moyens et les étapes pour rendre l’agriculture plus écologique.

 

Le plan ne peut donc pas se limiter à une attitude défensive et protectrice du patrimoine naturel – qui, dans ce sens, serait une charge pour la communauté – mais plutôt une attitude de valorisation d’une ressource créatrice de richesse et d’emploi, tout en participant activement à l’équilibrage du développement durable.

bottom of page